18 novembre 2014

Je suis devenue une petite ambassadrice !

Ce matin, un colis est arrivé dans ma boîte au lettres ! Au milieu de paperasseries inintéressantes et de publicités pour Bricotrucs, j'ai reçu un petit paquet en carton très prometteur. Je me suis installée sur mon canapé, excitée comme un enfant sous le sapin de Noël, et j'ai ouvert la boîte.

Pas un, pas deux, mais bel et bien trois soins capillaires Le Petit Marseillais m'attendaient sagement ! Argan, miel, amande douce... leurs petits emballages me font déjà rêver. J'ouvre leurs petits bouchons et constate déjà que tous les trois sentent vraiment très bon. Premier bon point. Je crois que je vais me faire un shampooing anticipé, tant il me tarde de les essayer.




Comment ces produits sont-ils arrivés jusqu'à chez moi ?


Je vous explique. Je suis devenue une petite ambassadrice pour Le Petit Marseillais. En clair, je fais partie des chanceux sélectionnés par la marque pour tester les produits et les présenter à mon entourage. Je garde pour autant une totale liberté de parole, et ne suis (heureusement) pas obligée d'en dire du bien si jamais ils me déplaisent !

J'ai déjà été petite ambassadrice pour un produit, il y a environ un an. Le produit qu'on m'avait confié, une douche-crème au lait d'amande douce au format écologique, était vraiment génial et m'a accompagnée tous les matins pendant longtemps.




























Dans mon colis : les trois petits soins, un miroir de poche, un document explicatif, une enquête de satisfaction et une dizaine de bons de réduction à distribuer !

Si comme moi vous chérissez les produits Le Petit Marseillais, vous pouvez vous aussi devenir de petits ambassadeurs ! En attendant de pouvoir vous donner mon avis sur ces nouveaux produits, je vais devoir vous laisser. Mon nouveau petit soin capillaire m'attend !

17 novembre 2014

Mooncup : le bilan

Je ne crois pas vous en avoir déjà parlé mais, il y a un peu plus d'un an, un nouvel objet est apparu dans ma vie. "Un fauteuil ? Un arbre à chat ? Une théière ?" Non, pas du tout. D'ailleurs, soyons honnête, l'outil en question n'est absolument pas glamour, ni stylé, ni beau...

Mais il est pratique, économique, écologique ! Et pour l'utilisation que j'en ai l'élégance n'a finalement que peu d'importance. Aller, c'est parti, je suis lancée, je vous en parle. Cela dit, pour expliquer le concept à celles qui ne le connaissent pas encore, je crois que la vidéo ci-dessous réalisée par Madmoizelle s'impose :


Maintenant que vous savez tout, je vous raconte. J'ai acheté la mienne dans une boisson où je l'ai payée environ 30€ ; un véritable investissement comparé au prix d'un paquet de tampons. Ceci dit, l'achat est vite rentabilisé si l'on considère le fait qu'un de ces paquets coûte environ 4€ et qu'il faut en acheter une petite dizaine par an. A mon avis, la mienne est rentabilisée.

Après une période un peu tendue entre ma cup et moi, durant laquelle nous devions nous apprivoiser mutuellement, j'ai fini par prendre confiance en ma nouvelle partenaire de menstrues. Une fois passés les petits cafouillages du début, et après m'être rendue sur ce site pour me rassurer, j'ai définitivement adopté la cup.

Et je ne regrette pas ! Facile à transporter dans son petit pochon en tissu, elle me suit en vacances, en week-end... et ne me fait pas de blagues sanglantes. Néanmoins, je ne la conseille pas pour aller nager ; d'après mon expérience, l'eau peut amoindrir l'efficacité de la cup pour un résultat pas très jojo.



Allez-vous vous aussi adopter la cup ? L'avez vous déjà fait ? J'ai hâte de connaître vos avis !


29 septembre 2014

Au sol. Réussira-t-elle à s'envoler ?



Coucou,

Un petit mot sur ce blog légèrement délaissé par son auteure (moi, désolée) pour vous parler d'un court métrage que j'ai eu la chance de découvrir hier soir dans Histoires Courtes, le programme de diffusion de courts sur France 2.*

Le film est court, certes, mais quelle histoire ! Que de rebondissements, de suspense, d'angoisse ! D'humanité, aussi. Alexis Michalik nous fait courir avec ses personnages, tous très attachants, dans l'aéroport de Marseille où nous tentons avec eux d'attraper un vol pour Londres... sans jamais savoir si nous réussirons à nous envoler.

C'était une histoire longue dans un film court, et c'était super bien. Je n'ai pas trouvé la vidéo sur le net, mais le réalisateur présente le projet à cette adresse : http://vimeo.com/65292040


En espérant que vous aurez vous aussi la chance de découvrir le film...


* programme diffusé beauuuucoup trop tard à mon goût ! Faut-il être insomniaque pour avoir le droit de regarder des courts métrages ?!


5 août 2014

Henri VI, le fascinant marathon théâtral



Amis du théâtre, bonsoir !

Il y a quelques mois, une de mes amies m'a fait une proposition folle que je me suis empressée d'accepter : visser mes fesses pendant huit heures sur un fauteuil pour voir une pièce de théâtre. Enthousiaste à l'idée de vivre une telle expérience, j'ai accepté de relever le défi.

Inutile de vous dire que je ne faisais pas la fière sur le chemin du rendez-vous... Une seule phrase occupait alors ma pensée : "bon sang, qu'est-ce qui m'a pris ?!" En plus de la crainte de ne pas aimer la pièce (une pièce pénible, c'est dur, une pièce pénible de huit heures, c'est insupportable), j'avais une multitude d'appréhensions. Y aura-t-il des entractes ? Quand est-ce que je pourrai faire pipi ? Et si je me sens mal, je peux sortir ?  Ce genre de choses praticopratiques.

Huit heures, trois entractes, un pipi, un café et une part de brownie plus tard, j'ai quitté le théâtre. J'étais RAVIE. J'aurais voulu que ça dure plus longtemps encore, tant je me suis éclatée. Les lumières, les décors, la musique, les comédiens m'ont rendue témoin d'un véritable feu d'artifice théâtral. Et là je me suis dit "dommage que je ne puisse pas voir la version de 17h" !

























Les raisons de mon engouement

Je ne fais pas partie des gens qui aiment le théâtre au point d'être toujours contents de ce qu'ils voient. Il m'est arrivé de m'ennuyer ferme devant une pièce effroyablement pénible où j'hésitais entre dormir et fuir en courant, coincée entre deux spectateurs aussi embarrassés que moi. Ces d'expériences ratées me permettent de dire que j'ai vraiment aimé Henri VI. Pas une seule fois je n'ai regardé ma montre... je n'en ai pas eu le temps !

La Piccola Familia a réalisé un travail exceptionnel. Les dialogues de pourtant indigestes coulent comme de l'eau après quelques minutes... En réalité, il m'a semblé que le principal du spectacle n'était pas l'oeuvre de Shakespeare elle-même, mais la mise en scène incroyable de Thomas Jolly. Tout est grandiose et fascinant. Les décors bien sûr, la musique, les costumes...

Et les acteurs, flamboyants ! Héroïques, ridicules, tragiques... Mention spéciale pour la jeune femme ci-dessous qui intervient régulièrement pour nous dire où nous en sommes dans la pièce. On prend vite goût à ses commentaires concernant la longueur du spectacle, désopilants !
























Regardez la pièce vous aussi !

Comme je l'ai dit, mon seul regret en quittant la salle était de ne pas pouvoir assister à la pièce dans sa version intégrale. C'était sans compter sur Culturebox, le site de France Télévision qui a eu le génie de filmer la représentation au festival d'Avignon ! Pour mon plus grand plaisir, la pièce est donc visible dans son intégralité ! On peut donc profiter de ce véritable chef d'oeuvre depuis son canapé, thé en main, sans se poser la moindre question. En ce qui me concerne, je vais regarder la pièce comme on regarde une série. Episode par épisode, au rythme des entractes.

Amusez-vous bien !











Les photos viennent d'ici, d'ici, et de

1 août 2014

Girls fait de nous des héroïnes comme les autres

Il y a quelques jours, je lisais un article dans Elle à propos d'une certaine Lena Dunham. Je n'avais absolument aucune idée de qui était cette personne. Rien d'étonnant à cela. D'abord parce que j'ignore souvent l'identité des gens qui font l'actu dans les magazines féminins. Et aussi parce que, de manière générale, je découvre les choses et gens à la mode à partir du moment où ils ne sont plus du tout à la mode.

Bref, je ne connaissais pas Lena Dunham mais je trouvais son petit minois sympathique alors j'ai tout de même lu l'article qui lui était consacré. Considérant, après lecture, que la jeune femme était super coolos, j'ai décidé de m'intéresser à elle, puis à son oeuvre. Et j'ai regardé Girls. Un épisode d'abord, puis deux, puis toute la première saison...
























Enfin une série qui ressemble aux filles réelles de ma génération. Je fuyais depuis un moment les séries destinées aux femmes pour des raisons très simples et pragmatiques : à chaque fin d'épisode de Gossip Girl ou de Sex and the City, j'éprouve un sentiment assez désagréable à l'égard de ma propre vie. Si je compare ma vie à celles des héroïnes, un constat s'impose : je serais une pauvre fille dodue mal fagotée à la vie sentimentale misérable.

















Carrie face à son plus gros problème : choisir une robe haute couture pour rejoindre son amoureux sensuel et fortuné dans un vernissage sur la terrasse d'un hôtel cinq étoiles.


La plupart des séries de ce genre que je connais vendent du rêve (voir l'image ci-dessus). Celle-ci nous propose la réalité. Ni plus ni moins belle que la mienne, que la vôtre. Les jeunes diplômés se cherchent, les appartements sont petits, les seins ne sont pas toujours ronds, fermes et pointés vers le soleil... et pour autant personne ne semble au bord du suicide ! Les personnages sont comme nous ; ils sont imparfaits, mais ils s'en contentent. Déjà parce qu'ils n'ont pas tellement de choix, mais aussi parce que ce sont justement leurs imperfections qui font leur succès (eh oui, parce qu'être normal ne fait pas d'eux des losers) !

Ne vous méprenez pas. J'aime bien Sex and the City. Mais dans Girls, j'apprécie d'être un personnage de série comme les autres. Parfois même, je suis une héroïne bien lotie. Après un épisode, je me sens bien dans mes converses. Et ça, mes ami(e)s, ça fait vraiment plaisir !


28 juillet 2014

Veggie burger



















Hi,

J'ai eu envie de vous faire partager une recette super facile, super conviviale et super agréable à manger entre amis. Il s'agit d'un de ces plats que l'on convoite souvent avec un brin de culpabilité, sachant que ce met a plutôt mauvaise presse de manière générale. Ceci étant, je suis de celles pensent que, dans le vaste univers de la nourriture, rien n'est interdit. Comme dirait ma maman, "il faut manger un peu de tout avec modération"... Personnellement, ces bonnes paroles ne m'ont pas empêchée d'en manger deux jours de suite, après c'est à vous de voir. Peut-être n'êtes vous pas gloutons.

Étant végétarienne, j'ai utilisé un steak de soja provençal pour ma recette. Libre à vous d'utiliser un steak haché ordinaire.

























Pour réaliser un hamburger, il vous faut :

Un pain à hamburger
Un steak de soja provençal
Une tomate
Une tranche de fromage de type cheddar
Un oignon
Quelques feuilles de salade
Deux cornichons
Du ketchup, de la moutarde

Accompagnement possible : frites, of course !


Préparation :

Si comme moi vous préparez des frites au four pour accompagner votre burger, pensez-y avant de commencer, cette recette est rapide !

1. Coupez la tomate en rondelles, les cornichons dans la longueur, les feuilles de salade en petit, les oignons en dés...

2. Faites revenir les oignons dans un peu d'huile et de margarine, à feu doux.

3. Lorsque vos oignons commencent à avoir une bonne tête (ils ont changé de couleur, sont plus moelleux... mais pas noirs !), ajoutez le steak de soja dans la poêle et passez à feu moyen. Surveillez vos oignons pour éviter qu'ils ne brûlent.

4. Lorsque le steak est prêt (sur les deux faces), posez une tranche de fromage sur la face du dessus afin de le faire fondre.

5. Tartinez les deux faces du pain avec un mélange ketchup/moutarde.



6. Faites chauffer le pain au microondes pendant une vingtaine de secondes, puis commencez le "dressage" : pain, salade, oignons, steak et fromage fondu, oignons, rondelles de tomates, cornichons, salade, pain

7. A table !


12 mai 2014

"Oubliés de nos campagnes"

Hello,

Après quatre mois d'absence, voici mon troisième billet de la journée ! Je suis si prolixe que je m'en étonne moi-même. Je voudrais vous parler de quelques personnes dont les témoignages ont été recueillis et mis en lumière dans une exposition - expo qui est hélas terminée (cet article arrive à la fumée des flambeaux). Ceci étant, des extraits des témoignages sont disponibles sur le site internet du projet ; ces petits morceaux sont déjà très intéressants, et je me suis dit que ça valait tout de même le coup d'en parler ici.

"Oubliés de nos campagnes" est le nom de ce passionnant projet. Des photographes ont décidé de mettre en image les existences de personnes qui vivent, plus ou moins coupés du monde, dans des campagnes françaises bien éloignées de l'agitation des villes. Tous les sujets sont en situation de précarité. Pour autant, et c'est génial, tous ne vivent pas leur situation comme un échec.

Certains extraits sonores, notamment celui de Georges (ci-contre), nous invitent à remettre beaucoup de choses en question. Ils questionnent notre manière de vivre, notre conception de l'existence.

Ces témoignages, la sincérité qui s'en dégage, sont absolument touchants. Bouleversants. Ils nous rappellent à la réalité, à cette réalité de l'autre qui est si proche mais que pourtant je ne vois pas ; parce que ça me dérange, parce que je crois que je n'ai pas le temps, parce que je suis trop concentrée sur mon vernis à ongle pour regarder mon voisin.

Je crois que nous avons besoin d'entendre leurs voix. Ces voix que l'on écoute pas, ou sans s'y intéresser. Pour nous donner envie de nous bouger, pour avoir conscience de notre chance, pour arrêter de nous plaindre, pour être reconnaissants. Avec la vie que j'ai, je devrais me mettre à genoux tous les matins pour remercier l'Univers de m'avoir offert une vie aussi agréable !

Pour en voir et en écouter davantage, c'est ici !

Le port de Morgat



























Un des trucs que je préfère lorsque je me rends au bord de la mer, c'est de traîner avec mes lunettes de soleil dans les ports. Si on passe outre l'odeur parfois dérangeante au début (quoique, ça dépend), on y voit pleins de choses très chouettes : un vieux monsieur avec un ciré, des pêcheurs, des gens qui repeignent un bateau... Il s'en dégage une énergie singulière, super dynamisante, j'adore.





Les falaises de Crozon



























Hi,

Une fois encore, force est de constater que je ne publie pas aussi souvent que je ne le souhaiterais sur ce petit cyberespace. Je continue tout de même à l'alimenter quand j'y pense. Il se trouve que j'y pense aujourd'hui, alors c'est parti !

J'ai eu la chance de passer la semaine dernière en vacances sur la presqu'île de Crozon où - là plupart du temps - j'ai eu la chance de voir le soleil. C'est déjà la deuxième fois que je pars en terre Bretonne et qu'il fait beau, à croire que la Bretagne m'a adoptée !




















































La maison dans laquelle je me trouvais était située tout près du village de St Hernot, à quelques minutes seulement (à pieds) du Cap de la Chèvre*.

*Vous remarquerez que les bretons ont un certain attachement pour les noms curieux !

J'étais donc à quelques pas des falaises et de l'océan ; une aubaine pour une petit marcheuse telle que moi ! La végétation, les embruns, les nombreux rochers font du paysage local un véritable paradis au naturel préservé.



















































24 janvier 2014

Deux chouettes courts métrages d'animation

Aujourd'hui je voudrais vous montrer deux court-métrages que j'ai eu la chance de découvrir au festival Premiers Plans d'Angers, dans la catégorie des "plans animés". L'un cette année, l'autre l'an dernier. J'adore ces films, tout en couleur, en finesse... De véritables bijoux. J'aimerais en voir des centaines, des millions même, je ne m'en lasse jamais. J'espère qu'ils vous plairont !

Le premier s'appelle "La Tâche", il a été réalisé par Chloé Alliez (Belgique) :



Celui-ci s'appelle "Mailles", il s'agit du film de fin d'études de Vaïana Gauthier :



Pour en découvrir davantage, n'hésitez pas à vagabonder sur Youtube, le site en regorge ! Arte (et son replay, surtout) diffusent également de nombreux films très, très chouettes.